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GB Foods lance ses nouilles japonaises Daisuki - actu conso du 21/06/2024

21 juin 2024

Au programme de ce numéro, Hari&Co prend place pour un apéro estival !
GB Foods (Liebig et Royco) lance ses nouilles japonaises Daisuki.
Chiffre et marché : les marques de distributeurs montent en puissance en rayons. Début juin, la consommation alimentaire affiche une légère progression. Enfin, non-alimentaire en hypers/supers : les ventes se stabilisent en mai.

La Up’Date News est réalisée par We UpSales Channel, avec le soutien d’Upsell, le récapitulatif de l’actualité de la semaine, autour des sujets de la distribution, de la relation client ou du field advocacy. Nous traitons des tendances, des derniers chiffres et nouveautés.

Hari&Co prend place pour un apéro estival !  

Hari&Co, spécialiste des légumineuses, change d’identité graphique et étend sa gamme de produits. Passée sous le contrôle du groupe Avril il y a moins d’un an, l’entreprise multiplie les développements, notamment avec une nouvelle plateforme de marque et l’entrée sur le segment des produits apéritifs.

Adoptant la nouvelle signature « La cuisine végétale a trouvé son chef », Hari&Co, fondée en 2014 par Emmanuel Brehier et Benoît Clisson, met en avant ses recettes à base de légumineuses bio cultivées en France. Parmi les nouveautés, la marque lance trois références apéritives : des empanadas à base de lentilles corail, ainsi que des nems et samoussas à partir de haché végétal.

En parallèle, Hari&Co revient au rayon surgelé avec un format économique et familial de 400 grammes, proposé en trois recettes : émincé végétal nature, émincé végétal curry et haché végétal. Tous les produits sont fabriqués en France, sans additifs ni soja.

Alors qu’Hari&Co s’apprête à célébrer ses 10 ans en janvier 2025, la marque prévoit plusieurs événements pour marquer cette étape. Dès septembre, une campagne télévisée sera lancée sur Canal +, suivie en octobre par un partenariat officiel avec la course Run in Lyon. Hari&Co sera également visible à Paris et dans les grandes villes de France.

GB Foods (Liebig et Royco) lance ses nouilles japonaises Daisuki.

GB Foods, propriétaire des marques de soupes Liebig et Royco, se diversifie sur le marché français avec des nouilles asiatiques instantanées sous la nouvelle marque Daisuki. L’objectif de cette initiative est de réduire la saisonnalité des ventes, traditionnellement dominées par les soupes. Daisuki, qui signifie « j’adore » en japonais, s’inspire de la street food nippone et se positionne comme une option simple et accessible sur un marché en forte croissance.

« Avec plus de 110 sachets et 60 cups vendus chaque minute en France, le marché des nouilles instantanées connaît une expansion rapide. En cinq ans, il a doublé en valeur, atteignant 118 millions d’euros, et augmenté de 50% en volume. », précise Mathilde Reymondier, directrice marketing de GB Foods France.

Pour soutenir cette nouvelle activité, GB Foods a construit une usine dédiée aux nouilles asiatiques dans le sud de l’Espagne, permettant ainsi d’internaliser la production. Cette catégorie représente déjà 11% de l’activité du groupe, qui génère environ 1,5 milliard d’euros de chiffre d’affaires.

GB Foods commercialise ses produits sous différentes marques selon les pays : Aiki en Belgique, Yatekomo en Espagne, Saikebon en Italie, où le groupe détient près de 60% de part de marché en valeur. Désormais, avec Daisuki, GB Foods ambitionne de conquérir le marché français des nouilles instantanées. 

Les marques de distributeurs montent en puissance en rayons.

Entre les marques nationales plus coûteuses et les marques de distributeur (MDD) plus abordables, le consommateur fait son choix. En un an, les MDD ont gagné plus d’un point de part de marché en valeur. Toutes les enseignes leur font plus de place dans leurs rayons, espérant ainsi contrer la baisse de la consommation.

Face à la flambée des prix, les enseignes redécouvrent les vertus des MDD, considérées comme la meilleure solution anti-inflation. Moins onéreuses que les grandes marques, elles permettent d’améliorer l’attractivité des prix. En étant exemptés de frais commerciaux et marketing, les MDD coûtent de 25 à 30% de moins à produire pour des recettes qui se veulent similaires aux produits leaders.

Les MDD ont gagné 1,2 point de part de marché en valeur sur l’année glissante arrêtée au 25 février 2024, selon Circana. Elles se sont valorisées deux fois plus vite que les grandes marques (+11,1% contre +5,4%). Désormais, elles représentent 35,4% des ventes de produits de grande consommation et de frais libre-service dans les hypermarchés, supermarchés, commerces de proximité ou encore en e-commerce.

Les supermarchés et hypermarchés voient les MDD se rapprocher des niveaux de la crise financière de 2008, atteignant 28% en 2023 contre 30% en 2009 et 2010. Cet engouement se retrouve aussi en Europe où les MDD ont progressé de 2 points, atteignant 38% de part de marché en valeur.

E. Leclerc et Carrefour sont les leaders des ventes de MDD en France, représentant près de 40% des MDD vendues en 2023. Leur part de marché a augmenté de 1,4 point et 0,8 point. Lidl a perdu 1 point, tombant à 15,5%, tandis que Les Mousquetaires ont progressé de 0,4 point à 14,9%. Selon Kantar, les MDD représentent 39,6% des ventes chez Auchan, une augmentation de 3,5 points, et 36,7% chez Carrefour Market, en hausse de 3,9 points. En revanche, elles reculent chez Casino (-0,6% à 34,6%) et Franprix (-2,2% à 26,4%).
« Quatre produits sur dix qui passent en caisse appartiennent à l’une de nos marques », indique Alexandre Bompard, PDG de Carrefour.

« Les périodes de crise sont propices à tester de nouveaux produits, marques et magasins, et une partie de ces nouvelles habitudes pourraient se pérenniser », déclare Gaëlle Le Floch de Kantar Worldpanel.

Les MDD permettent aussi aux adhérents de consolider leur rentabilité. « La marge ne peut pas suivre les prix, sinon nous deviendrons vulnérables par rapport aux discounters », confirme Thomas Pocher, adhérent du nord de la France. Pour Les Mousquetaires les MDD ont atteint 34,5% des ventes et 34% pour les enseignes U.

Début juin, la consommation alimentaire affiche une légère progression.

Les ventes de produits de grande consommation (PGC) montrent des signes de reprise début juin, selon Circana. Après une chute à la fin mai, les ventes se redressent progressivement depuis deux semaines. Entre le 3 et le 9 juin, une légère baisse de -0,5% en volume et -0,8% en valeur est observée. Cette tendance s’explique par une forte décroissance du secteur des DPH avec -6% en valeur et -3,7% en volume, tandis que les produits alimentaires restent stables.

Les bonnes performances des produits alimentaires proviennent principalement de l’épicerie (+3,3% en volume) et de la crèmerie (+3,9%), ainsi que du frais non-laitier (+1,9%). En revanche, les volumes des rayons liquides, notamment les bières, cidres, boissons rafraîchissantes sans alcool (BRSA) et eau, sont en chute, en raison d’une météo défavorable.

Toutefois, par rapport à la semaine précédente (27 mai au 2 juin 2024), certains produits connaissent une nette progression : les produits solaires (+63%), les spécialités individuelles glacées (+51%) et les panachés et bières sans alcool (+25%).

Enfin, les ventes de produits alimentaires en grande surface alimentaire (GSA) continuent d’afficher une solide dynamique avec +10% en valeur et +10,5% en volume. Les commerces de proximité se distinguent également avec des ventes en hausse de +0,4% en valeur et +0,8% en volume.

Non-alimentaire en hypers/supers : les ventes se stabilisent en mai.

Après une chute en avril due au décalage de Pâques, les ventes de produits non alimentaires en hypermarchés et supermarchés ont été stables en mai, selon Circana. Cependant, les secteurs de la maison et des loisirs restent en difficulté.

En mai, les ventes non alimentaires ont connu une légère reprise après un mois d’avril très négatif (-5,8%) en raison du décalage de Pâques en mars cette année. Les ventes dans les hypermarchés et supermarchés ont ainsi atteint une stabilité, avec une croissance de +0,1%. Mais cette stabilité cache d’importantes disparités.

La catégorie bricolage-jardinage affiche la plus forte croissance (+2,2%), profitant de sa saisonnalité. En revanche, les ventes dans l’univers de la maison enregistrent la plus forte baisse (-8,1%), suivies par le secteur sports-loisirs-jeux (-6,5%), pénalisé par une météo pluvieuse qui a impacté les ventes de jeux et d’articles d’extérieur.

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